-HOW WE BECAME - Warner MusicAprès Art Of Fiction, How We Became est le second album de Jeremy Warmsley, un jeune chanteur Franco-anglais de 25 ans aux faux airs de Buddy Holly. A la production de cet opus atmosphérique, on retrouve Markus Dray (Arcade Fire, Brian Eno, Coldplay...). Riche de 14 chansons au timbre folk, rock et parfois electro-pop, How We Became nous propose de goûter en toute quiétude aux rythmiques d’un artiste prometteur. Si l’Amour - thème central de l’album – reste un remède salutaire à la morosité des cœurs, Jeremy Warmsley nous en prescrit une bonne dose à la façon d’une ordonnance musicale.
- par Arnaud GAUTIER -
*** Jeremy Warmsley - DANCING WITH THE ENEMY - extrait de l'album How We Became - Un folk électronique et sentimental -Jeremy Warmsley est un nom que les mélomanes en quête de talents émergeants ne peuvent ignorer. Son premier album Art Of Fiction, paru en 2006, permettait de découvrir la "griffe" de l'artiste : une musique aux mélodies efficaces et des thèmes entêtants. Ses textes – littéraires et mélodieux – exposent une romance sentimentale propre à susciter l’émotion. Cette nouvelle production, How We Became, nous invite à découvrir un peu plus le jeune Londonien, au détour de titres produits par Markus Dravs (Coldplay, Arcad fire, Bjork). How We Became - dont la traduction pourrait être « Comment nous sommes devenu » - confirme l’artiste dans l’exercice de son art : Auteur, compositeur et interprète, Jeremy Warmsley s'aventure dans un folk électronique aux accents enjoués. Il y a de la fraicheur dans les chansons 'Broken Swords', 'Dancing With The Enemy', 'If He Breaks Your Heart' et une douce ambiance de ballade à l’anglaise sur 'Waiting Room', 'Take Care', 'Craneflies'. - de dylan à bono -Chacune des plages de l’album à son propre univers musical. L’artiste le confirme : « l’album est une suite de chansons qui semblent arriver un peu comme par elles-mêmes, presque naturellement ». Une envolée au piano, une voix en embuscade et l’émotion est au rendez vous. Il y a du talent à planter là un décor musical mixant un synthé discret à une guitare sèche façon folk aérien. Un duo chanté, 'Boat Song',marque l’avant dernière chanson de l’album et notre entrée définitive dans l'univers très particulier d'un artiste qui ne donne pas dans le tapage gratuit. Quand à 'Temptation', il ose dans ce dernier titre une pop entrainante à la U2. On y distingue une autre facette de l’artiste qui mélange subtilement son folk électrique sur un air rock à la Bono. - visées "napoléoniennes" -Comme tout artiste musical sensé, Jeremy Warmsley à des visées "napoléoniennes" sur le monde ; c'est ainsi que son site internet nous apprend que le musicien s'est récemment produit au Japon, trimbalant, en guise d'armada, une une bonne dose de talent dans les soutes. Les fans Nippons ne s’y sont pas trompés. Cet artiste là est à surveiller de très près !25/02/2009 Myspace :www.jeremywarmsley.com
- JEREMY WARMSLEY : 100% ROMANTIQUE -
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